Réactions sur le tome 8

[hsdcdb]

Je sais, il ne sort que demain, mais avant les réactions post-lecture, une petite réaction pré-lecture, écrite pour le site Le Cyrano(s) de Bergerac (http://cyranodebergerac.fr)

[Captain Boney Boone]

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Quoi, mon perroquet ? Qu'est-ce qu'il a, mon perroquet ?

[Lolo]

Alors ?

Point de réactions ?
Points de mines ébahies ?

Le forum reste étrangement mort aux lendemains d'un 8ième tome qui surprend.

Pour ma part je l'ai lu 2 fois et je reste encore mitigé, il faudra affiner avec d'autres lectures je pense.

Ce tome 8 rompt pour moi avec les autres dans l'impression qu'il me laisse. Ma découverte de ce 8ième tome s'est faite avec moins de saveurs, tout semblait consommé par avance !

Il y a des grands moments que j'attendais et ils y sont ! Et pourtant ils me laissent un léger goût d'amertume, peut être espérais-je être frissonnant, fébril, en état de choc, et il s'avère que non, le piment fait défaut à la première lecture et c'est une sensation qui se rattrape difficilement.

Ma deuxième lecture me permet de mieux envisager la chose. LE tome 8 ne veut pas s'inscrire dans la lignée des précédents, il est plus noir, plus sombre, plus mélancolique, on quitte progressivement le comique pour un état bien plus sérieux et une lente fatalité qui pousse à un type de fin que nous n'avions jusqu'alors pas connu.

Il ne faut pas non plus chercher l'oppulence de détails, ni la progression sur les fameux mystère annexes (mis à part celui du maître d'armes évidemment). Le tome 8 repose beaucoup plus sur une progression rapide des événements, un enchaînement sans repos des situations, pourtant ponctuées par des moments d'intenses doutes, de mélancolie, de poésie et de finitude angoissante.

Les nouveaux personnages introduits n'ont pas le temps d'être installés qu'ils disparaissent aussitôt, l'humour est plus ténu, les références artistiques littéraires moins nombreuses (mais certainement plein m'ont échappé) et "plus courrues d'avance" (elles paraissent trop évidentes, c'est comme si les friandises qu'on nous servait dans les tomes précédents s'étaient transformées en pâte un peu molle et sans saveur).

Pourtant les couleurs, les cadrages, les plans sont plus magnifiques que jamais. Les auteurs ont introduit d'ailleurs quelques audaces artistiques et on reste ébahi devant de nombreuses planches !

Et puis peut être que la fin me laisse trop sous un choc innatendu et face à l'horreur d'attendre de nouveau un an et demi pour savoir comment tout ceci va se poursuivre.
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Quel est cette fois le sujet de leur dispute ?
Un bigorneau.

[Calvin]

Une chose m'est apparue tres claire (comme une révélation ) pendant la lecture, au moment ou le MD recoit le mouchoir de Séléné : Séléné est la fille du MD !
D'ou la question : oui mais avec qui ???
Qui a été son élève (très prometteuse d'ailleurs) et qui ressemble etrangement à séléné ? Mademoiselle bien sur !

Alors pourquoi, si Mademoiselle est sa mère, cherche t elle à la supprimer ?
Et si ce n'etait pas la première fois ? Et si Mademoiselle avait déjà volontairement envoyé son propre bébé dans les limbes pour s'en débarasser et cacher sa faute qui aurait pu nuire a son ambition demesurée ?... (il faudrait que je relise les tome précédent pour voir si cela se tient bien...).


A part ca, ce qui est domage c'est qu'on a plus de nouvelles du tout de l'histoire du Rais Kader et de sa fille... donc pas moyen de savoir si c'est bien Hermine (je maintiens que oui).
Quand à l'histoire d'Eusèbe... il faudra encore attendre le t.10 à mon avis pour connaitre la fin ... le pauvre !

[b22]

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